C’est le premier long métrage de ce film qui présente humour fort (encore une fois, comme Films Lego), qui veulent toujours prendre les jeux vidéo au sérieux, n’ont pas peur de s’aliéner les non-joueurs pour leur utilisation et abus Jargon technique ou peur de s’attaquer aux problèmes du secteur. Comme quand, pour nous montrer à quel point le grand chef de studio était impitoyable – Taika Waititi dans le grand choix de casting -, on nous a fait comprendre qu’il ne veut pas permettre la rétrocompatibilité dans son nouveau jeu, ou nous parlons de « construire » e « Licence » sans expliquer qui ils sont. Qui sait, ben, d’autres s’adaptent. homme libre ne pas amener les problèmes internes du monde du jeu vidéo à tout le monde, mais essayer de en faire une métaphore pour quelque chose de plus grand et ce faisant, il inverse la relation habituelle entre le monde réel et le monde virtuel.
En fait, au cinéma c’est toujours le monde réel qui compte et quand le virtuel est dit, ce dernier est toujours en dessous, la copie, l’émanation. homme libre avec l’histoire dictature douce et classe ouvrière de personnages injouables qui deviennent conscients d’eux-mêmes (et de classe), démontrent l’autonomie du monde numérique pour affirmer leur dignité. Ce seront les événements qui se dérouleront dans l’univers du jeu vidéo qui déclencheront des aventures dans le monde réel, ce seront les découvertes et les enjeux soulevés dans le monde virtuel qui conduiront à une nouvelle prise de conscience dans la réalité. Et même à la fin la confrontation qui a tout clôturé est arrivée d’abord en ligne qu’en vrai vie. C’est nous, dans notre réalité, subalterne.
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