La France décide quoi faire à propos de Mistral. Le premier requérant lui avait déjà signalé

Paris a confirmé qu’il n’aurait aucune difficulté à trouver des acheteurs pour les deux hélicoptères qui devraient être envoyés en Russie.

Moscou/ParisFrance reste après l’annulation de la transaction avec Russie deux hélicoptères. Et comme la marine dispose déjà de trois cuirassés de classe Mistral, Paris recherche de nouveaux repreneurs.

Malgré les affirmations de Moscou, les intéressés ne manqueront probablement pas.

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian s’est exprimé jeudi sur plusieurs pays sur la radio RTL. Il a été mentionné comme candidat potentiel Canada Lequel Singapour.

Mais il a aussi une chance Egyptequi a récemment acheté des avions de combat et des frégates de la marine française.

Les affaires sont endommagées par la Crimée

La Russie a reçu 1,1 milliard d’euros pour son retrait de l’accord de 2011, un montant inférieur à celui qu’elle avait initialement demandé.

La vente des hélicoptères Vladivostok et Sébastopol était censée constituer le plus gros contrat d’armement entre la Russie et l’un des États membres. OTAN.

Cependant, l’année dernière, le contrat a été annulé par les Français en raison de l’annexion de la Crimée par la Russie. Cependant, à cette époque, Moscou avait déjà versé une avance de près de 840 millions d’euros et exigé une compensation pour le non-respect du contrat.

Il s’agit, entre autres, de couvrir les coûts engagés par la Russie pour la formation de 400 marins et le développement de quatre prototypes d’hélicoptères qui fonctionneront à bord du navire.

La France sur la voie des contrats

Les navires de classe Mistral sont construits pour transporter 700 soldats, 16 hélicoptères d’attaque et 16 à 50 véhicules blindés.

Les négociations entre les deux chefs d’État ont atteint leur apogée ces derniers mois. Finalement, un accord fut trouvé selon lequel la France ne payait que le prix d’achat des deux navires.

Malgré cela, il a perdu de l’argent suite à l’échec d’une transaction. Selon les estimations de la société publique DCNS, la propriété des deux navires a coûté au moins un million d’euros rien que le mois dernier.

Tout le matériel russe a de nouveau été retiré du navire et sera renvoyé en Russie. Les deux parties conviennent désormais que le différend mutuel a été résolu.

James Bonnaire

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