Autorité de sûreté nucléaire française (ASN) Etat, qu’afin de garantir la sécurité du réseau électrique, une dérogation temporaire est accordée qui réglemente la température maximale de l’eau de refroidissement rejetée par certaines centrales nucléaires. Pendant la canicule actuelle, certaines centrales électriques ne sont pas en mesure de respecter les limites fixées.
« Les conditions climatiques et hydrologiques extraordinaires que nous avons rencontrées cet été ont entraîné des augmentations de température inhabituelles dans certains cours d’eau », a-t-il ajouté. précise l’ASN dans un communiqué.
Les centrales nucléaires Golfech, Saint Alban, Blayais et tranche 2 de la centrale du Bugey sont libérées. Dans des circonstances normales, l’opérateur doit éteindre la centrale si la température est dépassée. Cependant, en cas de menaces à la sécurité des opérations du réseau, les régulateurs peuvent autoriser des opérations sous contrôle accru, ce qui est également le cas actuellement. La France était déjà dans une situation similaire en 2003 et 2006.
Impact environnemental
Le refroidissement avec l’eau de l’océan ou des rivières est utilisé dans certaines centrales thermiques qui, outre le nucléaire, comprennent également des centrales au charbon. L’élévation de température entre l’entrée et la sortie est de l’ordre d’un dixième de degré Celsius pour une centrale qui utilise également des tours de refroidissement. Dans le cas d’une centrale électrique sans tour de refroidissement, la température peut atteindre des degrés Celsius.
La surchauffe de l’eau peut avoir un impact négatif sur les poissons et généralement la vie aquatique et l’environnement autour de l’exutoire. Par conséquent, cette technologie est strictement contrôlée et les limites fixées dans lesquelles le fonctionnement de la centrale peut varier.
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