Mary Stuart a en effet vécu une vie mouvementée. En tant que reine d’Écosse et de France, elle était une épine dans le pied de beaucoup et n’a pas exactement connu un destin heureux. Elle n’était reine de France que depuis quelques mois, et bien qu’elle ait réclamé le trône d’Angleterre, elle ne l’a jamais pris. Mais cela ne signifie pas que les menaces de son homme n’ont pas dérangé la reine de l’époque, qui l’a exécuté juste pour s’en assurer. Et l’exécution elle-même est devenue un triste spectacle dont on parle encore aujourd’hui.
Elle n’avait que six jours lorsqu’elle est devenue reine d’Écosse. Et six ans plus tard, il est emmené à la cour du roi Henri II de France, où il est promis à son fils aîné, François. Il y fut élevé comme les autres enfants d’Henri et de Catherine de Médicis, sous la tutelle de ses oncles Charles de Lorraine et František de Guise. En tant que catholique, il a lutté contre le protestantisme toute sa vie, déjà en France.
La reine du titre n’a pas beaucoup apprécié après la mort de son beau-père. Elle a épousé François à l’âge de 15 ans, il est monté sur le trône moins de deux ans plus tard. Un an et demi plus tard, il mourut et Marie, sans abri en France parce qu’elle n’avait pas le temps de concevoir un enfant royal, se rendit dans son Écosse natale, où elle constituait une grave menace pour Elizabeth I, reine d’Angleterre et son mari. une tante de deuxième génération, dont il n’a jamais reconnu la position bien qu’il n’ait jamais aspiré au trône.
Même en Écosse, cependant, il n’était pas une figure populaire parmi la noblesse. Elle avait apparemment tué son mari pour qu’il puisse se remarier. Il a même été emprisonné pour cela. Il espérait qu’Elizabeth I l’aiderait, mais il avait très tort. Ils lui ont tendu une embuscade et l’ont reconnu coupable de trahison et l’ont immédiatement exécuté.
Selon des témoignages, sa mort fut un théâtre tragi-comique. Le bourreau s’est d’abord agenouillé devant Marie et lui a demandé pardon, ce qui était courant à l’époque. Mais c’est la fin de quelque chose de normal. Le premier coup de hache a manqué le cou de la reine – le bourreau l’a frappée à l’arrière de la tête, sa tête n’a été coupée que par le deuxième coup, mais un morceau de peau a continué à la maintenir contre son corps, alors le bourreau avait pour la hacher avec la hache.
Le bourreau alors, comme c’était la coutume, leva la tête par les cheveux et cria « Dieu sauve la reine ». Mais à ce moment, seules les mèches brunes de la reine restaient entre ses mains et sa tête roula sur la scène. Marie était déjà grise à ce moment-là et n’apparaissait en public qu’avec une perruque.
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