Cette L’actrice française Brigitte Bardot a été condamné ce jeudi à payer une amende de 20.000 euros pour injures racistes en assurant que des habitants La Réunion en France « Ils ont gardé leurs gènes sauvages », ont rapporté les médias locaux.
Poursuite de Tribunal de Saint Denis Pengadilan La Réunion a demandé le 7 octobre des sanctions de 25 000 euros pour les traducteurs français (environ 29 000 $) et 5 000 (environ 5 770 $) pour l’implication de son attaché de presse, Bruno Jacqueline, dont les sanctions s’élevaient finalement à 4 000 euros (plus 4 600 $).
Dans une lettre adressée en 2019 au préfet (délégation du gouvernement) de La Réunion (dans l’océan Indien), Amaury de Sant-Quentin, qui était accessible à divers médias, la comédienne de 87 ans a également souligné que La Réunion est une « île des démons » avec une population « dégénérée » et « noyée dans les traditions barbares ».
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En outre, Bardot affirme qu’il existe « des souvenirs de cannibalisme des siècles passés » qui « devraient être interdits ». Sant-Quentin a décrit plus tard ces mots comme « inacceptables », « maudits » et très probablement un crime.
Avec cette lettre, Bardot veut demander au préfet de lutter contre la « négligence » et la « barbarie » selon lesquelles les animaux de l’île sont ciblés par la minorité tamoule.
Bardot dirige une fondation à son nom dédiée à la protection des droits des animaux en France et à l’étranger.
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Dans des déclarations publiques récentes, des protagonistes de films tels que « Et Dieu … créa la femme » (« Et Dieu créa la femme »), de Roger Vadim, ont suscité la controverse dans sa défense du problème animal.
EFE
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