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Les représentants des nations du monde se sont mis d’accord sur une déclaration finale lors d’un sommet lors de la conférence sur le climat COP27 en Égypte dimanche. Le président de la conférence et ministre égyptien des Affaires étrangères, Sami Shukri, a tapé sur le marteau pour indiquer que le document représentant le consensus politique à la conférence avait été approuvé à l’unanimité. Cela a été rapporté par l’agence de presse Reuters. L’un des résultats importants de la conférence a été l’accord sur la création d’un fonds spécial pour compenser les dommages causés par le changement climatique dans les pays très vulnérables.

Dans la déclaration finale de la COP27, deux cents pays ont de nouveau appelé à « l’accélération » de la réduction des émissions de gaz à effet de serre et ont également réaffirmé les engagements antérieurs de réduire la combustion du charbon. Mais le texte ne fait aucune mention de la fin du pétrole et du gaz naturel. Selon l’agence DPA, la déclaration reste derrière les demandes de nombreux pays, militants du climat et écologistes, qui considèrent qu’il est important de mettre fin à la dépendance aux sources d’énergie polluantes.

Dans la déclaration finale, les pays ont également été invités à mettre à jour de manière non contraignante leurs plans de protection du climat largement inadéquats d’ici la prochaine conférence sur le climat au plus tard. La prochaine conférence aura lieu aux Émirats arabes unis à la fin de l’année prochaine.

« Je vous exhorte à accepter la proposition de décision que je vous transmettrai », a déclaré Shukri avant la fin de la dernière session plénière du sommet. « Le monde regarde, je nous demande à tous d’être à la hauteur des attentes que nous donne la communauté mondiale et en particulier ceux qui sont les plus vulnérables mais qui contribuent le moins au changement climatique », a déclaré l’homme politique égyptien.

En outre, l’agence de presse a annoncé que la conférence de la station balnéaire égyptienne de Charm el-Cheikh avait pour la première fois approuvé un fonds commun pour compenser les dommages climatiques causés par les pays pauvres. Apparence fonds approuvé par quelque 200 États dès dimanche matin. Ensuite, la déclaration finale globale de la conférence a également été approuvée.

Les pays pauvres recevront des fonds pour atténuer les conséquences inévitables du réchauffement climatique, telles que des sécheresses, des inondations et des tempêtes plus fréquentes, ainsi que l’élévation du niveau de la mer et la création de déserts. La conclusion ne précisait pas de montant précis ni qui donnerait l’argent. Les pays particulièrement à risque doivent être privilégiés, comme l’a souligné l’Union européenne.

C’est le différend sur les fonds qui s’est avéré être la plus grande pomme de discorde lors de la conférence de deux semaines, qui devait initialement se terminer vendredi. Cependant, il a été prolongé de 36 heures. La création du nouveau fonds a été initialement bloquée par les États-Unis, tandis qu’un groupe connu sous le nom de G77, comprenant plus de 130 pays en développement et la Chine, a fait pression pour la police. Après des réticences initiales, l’Union européenne s’est également jointe à l’effort.

Dimanche matin, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a qualifié l’accord sur un fonds commun de compensation climatique de « pas important vers la justice ». « Ce n’est certainement pas suffisant, mais c’est un signal politique indispensable pour regagner la confiance perdue », a déclaré António Guterres dans un message vidéo publié sur Twitter. Les voix des pays les plus durement touchés par la crise climatique doivent être entendues, a-t-il souligné. Cependant, selon l’AFP, le secrétaire général de l’ONU a également déploré que l’ambition de « réduire drastiquement » les émissions n’ait pas été atteinte.

Le vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans, a également estimé que l’accord de la COP27 était insuffisant et a critiqué l’engagement de plusieurs pays concernant les efforts pour limiter la hausse des températures. Selon lui, l’accord n’oblige pas les grands émetteurs de gaz à effet de serre à faire des efforts supplémentaires suffisants pour accélérer les réductions d’émissions.

Nicole André

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