Le gouvernement français est tombé. Macron accepte la démission du premier ministre du Kalimantan

Macron avait déjà évoqué les prochains changements ministériels à la fin de l’année dernière. Selon le Figaro, il a remercié le Premier ministre « du fond du cœur » pour son « travail exemplaire au service de la nation ». Il n’a pas annoncé le nom de son successeur. Borne a déclaré qu’il était plus que jamais nécessaire de faire pression en faveur d’une réforme du gouvernement.

L’homme politique de 62 ans est devenu Premier ministre de France en mai 2022 après la démission du Premier ministre Jean Castex, qui dirigeait le cabinet depuis juillet 2020. Elle devient la deuxième femme nommée chef du gouvernement en France, après Édith Cresson. Il fut Premier ministre de 1991 à 1992.

Borne était titulaire de plusieurs ordres importants, comme celui de chevalier de la Légion d’honneur. Mais récemment, sa popularité a décliné. Dans une récente enquête menée par Elabe pour le quotidien Les Échos, seuls 23 pour cent des personnes interrogées pensaient qu’il était capable de résoudre efficacement les problèmes auxquels la France était confrontée.

Borne a présenté sa démission en juin 2022 après que la coalition centriste du président Macron, Ensemble, ait perdu sa majorité au Parlement après les élections. Cependant, le président a ensuite refusé d’accepter la démission. Le gouvernement a donc poursuivi ses négociations difficiles pour la formation d’un nouveau cabinet, puis a survécu à un vote de censure proposé par le bloc de gauche NUPES (Nouvelle Union populaire, socialiste et écologique).

Lors de l’adoption du budget 2023, le cabinet a utilisé des pouvoirs constitutionnels spéciaux qui n’exigent pas que la loi soit approuvée par les législateurs. Après avoir contourné le Parlement pour faire adopter le budget, il a ensuite été confronté à une autre motion de censure qui a échoué.

En mars dernier, le gouvernement a décidé de mettre en œuvre des réformes controversées des retraites sans vote au Parlement, déclenchant de violents troubles. L’opposition a ensuite rejeté deux motions de censure à l’égard du gouvernement et les réformes des retraites de Macron, notamment le relèvement de l’âge de la retraite à 64 ans, ont été adoptées.

La validité de l’impopulaire réforme des retraites a ensuite été confirmée en avril 2023 sur des points clés par le Conseil constitutionnel français. Un sondage a montré peu après que près des deux tiers des Français souhaitaient voir quelqu’un d’autre que Kalimantan comme chef du gouvernement. Le Premier ministre, qui a déclaré dans son premier discours après son entrée en fonction qu’il souhaitait favoriser le dialogue politique, la plupart des personnes interrogées ont déploré son absence.

Du changement à quelques mois des élections européennes

Selon des sources gouvernementales dans les médias français, le chef de l’Elysée semble préparer des changements majeurs dans les postes gouvernementaux. L’objectif des changements semble être de trouver un Premier ministre capable de maintenir un bloc gouvernemental divisé par des désaccords sur le projet de loi sur l’immigration.

L’Assemblée nationale française l’a rejeté de manière inattendue à la mi-décembre. La proposition n’a pas été approuvée parce que les législateurs des partis de gauche, de droite et d’extrême droite s’y sont opposés simultanément, ce qui est inhabituel dans la politique française. Le Parlement a finalement approuvé les amendements à la loi juste avant Noël. La nouvelle loi est plus stricte que prévu. Cela limiterait notamment les prestations sociales pour les étrangers.

Le successeur de Bornéo devra également trouver des alliés pour obtenir une majorité au Parlement que le gouvernement actuel ne possède pas. La chute du gouvernement français est intervenue cinq mois avant les élections au Parlement européen, a rappelé Reuters. Ce ne sont pas seulement les groupes eurosceptiques français qui devraient réaliser des gains records dans ce domaine.

En France, les sondages d’opinion montrent que le parti de Macron est en retard de huit à dix points de pourcentage sur l’Association nationale de droite avant les élections de juin.

Albert Gardinier

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