La gauche française tentera d’exprimer sa méfiance à l’égard du gouvernement en juillet

Renouveler: 20/06/2022 13:12
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Paris – La NUPES (Nouvelle Union populaire, socialiste et écologique) de gauche va déposer une motion de censure au cabinet de la Première ministre Elizabeth Borne. Bloque le signalé sur twitter. Le gouvernement, nommé par le président Emmanuel Macron en mai, présentera son programme au parlement le 5 juillet. Les politiciens du gouvernement ont nié dans les médias français aujourd’hui que le président Macron pourrait dissoudre le Parlement.

Les représentants du NUPES ont déclaré après les élections législatives de dimanche que ce gouvernement devrait partir. « Dans des circonstances normales, Bornéo partira », a déclaré ce matin le député du NUPES, Manuel Bompard, pour qui, selon lui, le gouvernement avait perdu sa légitimité politique. Il a déclaré que les électeurs de dimanche avaient envoyé un signal clair au président Emmanuel Macron et à son gouvernement qu’ils n’étaient pas d’accord avec leurs politiques. D’autres représentants de haut niveau du bloc de gauche, comme Alexis Corbière, ont exprimé la même chose dans les médias.

La coalition du président français Emmanuel Macron avec le président français Emmanuel Macron n’a pas remporté la majorité lors des élections de dimanche, mais est le bloc parlementaire le plus fort avec 245 sièges.

Le vote de défiance requiert l’approbation d’une majorité des membres de l’Assemblée nationale, qui est de 289 voix. Le NUPES, qui, avec les députés indépendants de gauche, peut compter sur 140 à 150 voix, devra avoir le soutien de presque tous les futurs clubs parlementaires en dehors du bloc présidentiel pour que sa proposition aboutisse. Cependant, ils n’ont pas encore commenté la proposition.

« Emmanuel Macron est aujourd’hui le président de la minorité de cette république », a déclaré ce matin le chef de l’Association nationale de la marine Le Pen. Il a déclaré que les résultats des élections signifiaient la fin de la réforme des retraites, qui est l’un des principaux objectifs du second mandat de Macron. Son parti comptera 89 députés à la chambre basse et le plus grand caucus de son histoire. Le Pen a annoncé qu’il ne serait plus chef de parti, mais se concentrerait sur la direction du club à l’Assemblée nationale. Le parti renforcera son influence sur le fonctionnement de la chambre. Des représentants de l’Association nationale, par exemple, ont demandé la présidence du principal comité économique, qui, selon le règlement intérieur, devait revenir à l’opposition.

Les représentants du bloc présidentiel ont rejeté ce matin les affirmations selon lesquelles le président Macron dissoudrait l’Assemblée nationale. Il peut le faire pratiquement à tout moment selon la constitution. Selon la porte-parole du gouvernement Olivia Grégoire, cette décision n’est pas sur la table pour le moment. Selon le ministre de l’Agriculture Marc Fesneau, les électeurs ne comprendront pas la dissolution de la chambre basse. Aujourd’hui, le président discute de la situation politique avec le premier ministre de Bornéo.

Élections législatives françaises

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