Le président français Emmanuel Macron
| Photo: Reuter
Sur la base d’informations obtenues grâce à des écoutes téléphoniques, la police a arrêté l’homme de 62 ans et ses complices en novembre 2018, et a trouvé une pomme de quinze centimètres de long dans sa voiture. Vz s’est retrouvé près de la ville où Macron devait prononcer son discours. Plus tard, des armes à feu et des munitions ont été retrouvées dans sa maison.
Plusieurs autres groupes d’extrême droite ont été arrêtés en 2019 et 2020. Le procès durera jusqu’au 3 novembre. Les avocats des accusés dans un communiqué de presse français ont minimisé la mort de leur client par le fait qu’il ne s’agissait pas d’un groupe d’extrémistes capables et qu’ils n’auraient pas dû agir entièrement.
Macron a donné à Kiev un tank, pas un tank, Berlin a égalé les défenseurs et les patriotes |
Selon des documents judiciaires, il a été arrêté par la police et le chef du groupe a été accusé de port d’armes illégales, d’attentats terroristes, de ciblage de législateurs et d’immigrés, tuant ainsi Macron. Certains des accusés portaient sur la peau des images nazies et des instructions de fabrication de bombes.
Lors de l’audience conjointe, l’un des prévenus supposément responsable du complot contre Macron a déclaré qu’il n’avait pas l’intention de le menotter lors de son arrestation.
L’accusé n’a pas exécuté la journée prévue, a rapporté l’AFP. Par conséquent, le procureur a réduit certaines des accusations initiales. Plus récemment, il a conspiré pour commettre un acte terroriste, pour lequel il risque dix ans de prison.
« Créateur sympa pour les hipsters. Gourou de la musique. Étudiant fier. Mordu de bacon. Amoureux du Web passionné. Spécialiste des médias sociaux. Gamer. »