Des vandales ont systématiquement aveuglé les radars français. Il a un nom de scène

Il est encore trop tôt pour juger dans quelle mesure la réduction des limitations de vitesse aura un impact sur la réduction du nombre d’accidents, mais il est clair que le public est fortement en désaccord avec cette mesure. Et ils expriment leur résistance par le vandalisme.

Les radars fixes, qui portent en France des panneaux indiquant « pour votre sécurité », sont peints à la bombe colorée. Un individu soupçonné d’être responsable de l’aveuglement de plusieurs radars a même reçu le surnom de Picasso, écrit le site Le journal de Saône-et-Loire.

Son identité est inconnue, mais il a « travaillé » dans le département de l’Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes. Bien sûr, la police le recherchait ; cependant, il dit que masquer le radar avec de la peinture n’est pas grave : il suffit de l’essuyer. Bien sûr aux frais des contribuables.

Correction d’un quadruple crash de radar

Depuis le début de cette année, selon le site d’information français LCI, 400 radars ont été endommagés, soit quatre fois plus qu’à la même période l’an dernier. Il a indiqué que la plus forte augmentation du nombre d’attaques contre les radars a été enregistrée juste après le 1er juillet, date à laquelle la limite a été réduite.

Les vandales n’ont pas été dissuadés, même par la menace de sanctions très sévères – une amende pouvant aller jusqu’à 45 000 euros (environ 1,16 million de couronnes) ou jusqu’à trois ans de prison si quelqu’un travaillait seul, ou une amende pouvant aller jusqu’à 75 000 euros (1,93 million de couronnes). millions de couronnes) ou jusqu’à cinq ans de prison, s’il s’agit d’un groupe organisé.

La police française envisage donc d’installer des caméras ou des pièges photographiques à proximité du radar, ce qui leur permettrait d’attraper les intrus. Il ne pouvait pas faire grand-chose pour le moment. On peut penser à une autre solution : ramener la limitation de vitesse à 90 km/h, mais le gouvernement français ne veut probablement pas entendre cela.

James Bonnaire

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