Le gouvernement actuel, dirigé par la Première ministre Élisabeth Borne, et surtout le président Emmanuel Macron, a beaucoup de chance d’être aujourd’hui déjà un an après les élections présidentielle et législatives. Si les Français allaient aux urnes maintenant, Macron affronterait Marine Le Pen, qui a remporté plus de 41 % des voix au second tour de l’année dernière, ce qui serait bien plus difficile, sans parler des élections législatives du Parti national. Assemblée, c’est là qu’est le parti de Macron, En Marche ! (Les Républicains bougent, ou En avant !) n’a pas non plus remporté de majorité l’année dernière. Au printemps 2022, la majorité des Français, près de 60 %, ont voté pour un Macron durable, cultivé et intelligent, d’autant plus qu’ils l’ont envoyé pour un deuxième et dernier mandat.
Au moins certains d’entre eux pensent probablement que Macron, qui n’a plus besoin de rivaliser pour obtenir les voix des électeurs libéraux (oui, au second tour contre Le Pen, la gauche libérale a toujours voté pour lui, même si d’ailleurs les dents serrées), ressemble à Jacques Chirac qu’ils ont détesté en mai 2002), assurerait un « retour du gouvernement et de l’ordre » dans les banlieues sanglantes et souvent meurtrières des grandes villes françaises. Au lieu de cela, ils ont obtenu une « réforme des retraites » et une déclaration selon laquelle les parents d’adolescents en difficulté, dont la plupart viennent du Maghreb, devraient veiller à ce que leurs enfants regardent moins de films d’action et jouent moins à des jeux d’action sur ordinateur et sur téléphone portable, ce que le président a qualifié de « réformé ». un des exemples. la principale raison de leur comportement la semaine dernière.
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