L’hydrogène peut exister dans d’abondantes réserves souterraines. Il existe des alternatives à l’hydrogène vert, bleu, gris ou rose qui alimente le phénomène des énergies propres depuis plus d’une décennie dans le village de Bourakébougou à l’ouest du Mali. Des sommes colossales sont désormais investies dans sa recherche. Ils sont venus avec des nouvelles Garde Et le journal Wall Street.

Selon les considérations de l’Union européenne et d’autres acteurs géopolitiques, l’hydrogène fait partie de la solution à la crise climatique. Il y a également eu de nombreuses délibérations sur la manière de l’intégrer dans le système énergétique de l’État, et on pense que ce gaz propre peut remplacer les combustibles fossiles dans les usines, les centrales électriques et les maisons.

Bien qu’aucune émission de dioxyde de carbone ne soit produite par la combustion de l’hydrogène, elles peuvent être générées lors de sa production, à condition qu’il soit produit à partir de combustibles fossiles, par exemple par reformage à la vapeur. Il a également une solution sous la forme de capter le dioxyde de carbone et de le stocker sous terre. L’hydrogène produit par l’électrolyse de l’eau à l’aide d’électricité renouvelable ou d’électricité du noyau peut être décrit comme sans émission. Toutes les alternatives peuvent être utilisées dans la pratique. Cependant, il existe une autre alternative. Il s’agit d’hydrogène, présent à des centaines de mètres sous terre et piégé dans des structures naturelles.

Il est actuellement utilisé pour produire de l’électricité écologique pour les ménages et les commerces de Bourakébougou. Cependant, les géologues pensent que les réserves inexploitées d’hydrogène blanc aux États-Unis, en Australie et dans certaines parties de l’Europe ont le potentiel de fournir au monde une énergie propre à une échelle beaucoup plus grande.

Pour combien?

Les coûts peuvent être énormes : le US Geological Survey affirme que même si seule une infime fraction de l’hydrogène peut être récupérée sous la surface de la Terre, elle durera probablement des centaines d’années.

L’incertitude demeure quant à la façon dont l’hydrogène s’est formé au plus profond de la Terre, exactement comment il a migré vers la surface et comment l’extraire au mieux. La réponse à cette question sera très importante pour comprendre le coût de l’extraction de l’hydrogène blanc. Les estimations suggèrent qu’il sera moins cher que l’hydrogène provenant de combustibles fossiles ou d’eau – mais il y a beaucoup de mises en garde.

« Le véritable potentiel de l’hydrogène blanc dépendra des résultats de ce premier projet », a déclaré Philip Ball, chercheur à l’Université de Keele et géologue dans la région.

« Nous sommes sur le point d’acquérir de nouvelles connaissances, mais la question de savoir si cela se traduit par de nouvelles sources d’énergie sérieuses est une très grande question », a-t-il ajouté. Le bal a continué.

lève tôt

Par exemple, la société Koloma, dans laquelle Bill Gates aurait investi, est actuellement à la recherche d’hydrogène blanc. La société opère dans des zones situées le long du système américain du Midcontinent Rift.

La faille tectonique de 1 200 km de long qui traverse l’Amérique du Nord est également une cible pour Natural Hydrogen Energy, qui débutera ce mois-ci des travaux d’exploration avec la société australienne HyTerra au Kansas.

En Europe, l’hydrogène blanc a été découvert en France, dans le bassin lorrain. Aussi, la société britannique Getech a adapté le logiciel développé pour la recherche de pétrole à la recherche de gisements d’hydrogène.

« Beaucoup de géologues ne comprennent pas ce domaine. On a le sentiment que s’il y avait de l’hydrogène, les grandes compagnies pétrolières l’auraient déjà trouvé. Mais ils ne le recherchent pas. La plupart des découvertes d’hydrogène sont accidentelles », a-t-il ajouté. Balle ajoutée.