Vous êtes okvali, analyste de l’inflation. Cependant, ils ne s’entendent pas sur des valeurs précises. Certains ont prédit une augmentation des prix de 16,2 % en janvier, tandis que d’autres ont même prédit 19 %. Avec l’accélération de l’inflation en janvier, les prévisions de la Banque nationale tchèque (NB), qui avaient placé la valeur au-dessus de 17 %, ont chuté.
Selon les analystes, l’inflation est derrière vous, notamment les prix de l’énergie et les prix réels en fin d’année. Les prix de l’électricité ont augmenté de 36,4 % par rapport à la baisse de 21,2 % en décembre. Les prix de l’eau ont accéléré leur croissance à 16,3% contre 5% en décembre. Par rapport à décembre, les prix de l’électricité et du chauffage ont augmenté. En revanche, les prix du gaz naturel ont ralenti à 87 % (en décembre, en hausse de 140,2 % en glissement annuel).
Alors que l’inflation au milieu de l’année dernière a été corrigée par des mesures administratives (y compris un tarif douteux sur le taux d’inflation, qui a fait baisser les prix de l’énergie pour les consommateurs, note la rédaction) en janvier, cela a conduit à leur interruption, ce qui a conduit à un prix pic. En outre, certains commerçants ont opté pour la stratégie de vente et de vente, qui s’est reflétée dans les portefeuilles plus tôt dans l’année, selon l’économiste en chef de BHS, tpn Keek.
L’accélération de l’inflation affecte les prix alimentaires. Par exemple, en hausse de 35,1 %, la farine de 44,2 % et la viande bovine de 36,8 %. Vous n’avez même pas à payer pour les commérages, le lait, les œufs, la graisse ou le sucre.
En décembre, l’inflation en République tchèque a atteint 15,8 %, en baisse par rapport aux 16,2 % de novembre. Selon les analystes, le ralentissement du taux de croissance des prix est principalement dû aux rabais sur le carburant.
L’inflation de janvier poussera la Banque nationale tchèque à relever ses taux d’intérêt. L’économiste Ale Marl de l’Institut national SYRI et du centre de recherche CEGE-EI le pense. Selon lui, la banque centrale tente d’éviter une flambée de l’inflation des salaires, mais risque de faire monter les pressions sur les prix.
NB devrait réagir davantage à l’évolution des prix en augmentant les tarifs annuels. Pour presser les soins de santé rapides si cela déclenche une spirale inflationniste, je devrai être très généreux à l’avenir et me donner une réaction très agressive de la politique monétaire, qui va de pair avec la récession et la croissance du chômage, pour Marl.
L’inflation ici serait appropriée, pas prévue
Un bon début a été l’accord des analystes selon lequel, en raison de l’inflation de janvier en République tchèque, diminuera. Cependant, les premières prévisions macroéconomiques suggèrent qu’il reculera plus lentement qu’initialement prévu. Par exemple, la Banque nationale tchèque, qui lutte contre l’inflation, a dans ses prévisions abaissé les perspectives d’inflation moyenne pour cette année de 9,1 % à 10,8 %.
Le ministère des Finances ou des banques privées fourniront un point de vue similaire. Par exemple, l’association bancaire tchèque a légèrement dégradé ses perspectives d’inflation cette année. Les analystes s’attendent à une inflation moyenne légèrement supérieure à 10 %.
Miroslav Novk, analyste chez Akcenta, s’attend à une inflation moyenne d’environ 10% cette année. A titre d’illustration, pour 2009 et 2021, soit pendant deux ans, le niveau des prix a augmenté de 27,9%. Si nous supposons une augmentation des prix de 10,8 % pour l’année, ce qui est l’estimation du Nouveau-Brunswick, et disons 15,1 %, alors nous connaîtrons de facto cette croissance dans deux ans, a ajouté Novk une statistique peu flatteuse.
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