Dix femmes rentrées de Syrie avec l’aide du gouvernement français inculpées

Jusqu’à présent, le dernier groupe de 15 femmes et 40 enfants est arrivé en France jeudi soir. Environ 300 mineurs sont à ce jour rentrés en France depuis des territoires auparavant contrôlés par des terroristes. Paris a jusqu’à présent refusé le retour des femmes majeures, mais la plupart des mères ont refusé de laisser leurs enfants, alors le gouvernement a autorisé leur retour au profit des mineurs. Mais en France, les femmes doivent répondre de leurs actes devant la justice.

Les femmes, dont les mandats d’arrêt avaient été délivrés, ont été arrêtées par les autorités peu après leur arrivée. L’un d’eux a également été accusé de crimes contre l’humanité et de génocide. Certains sont accusés de ne pas s’acquitter de leurs responsabilités parentales légales et de mettre en danger la santé ou la sécurité de l’enfant.

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Une femme de 19 ans qui a été amenée à la frontière irako-syrienne alors qu’elle était enfant faisait également partie du groupe. Les enquêteurs ont déclaré que rien n’indiquait qu’il devrait être inculpé du crime et ont recommandé « l’éducation en détention ». Trois femmes ont été inculpées et emprisonnées jeudi. L’état de santé de la dernière femme du groupe ne lui a pas permis de témoigner devant un juge d’instruction.

En juillet, les autorités françaises ont estimé qu’il y avait environ 100 femmes et 250 enfants dans des camps de prisonniers en Syrie à l’époque. La France a depuis amené un groupe de 16 femmes et 35 enfants avant le vol de jeudi.

Nicole André

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