Outre les diplômés et les étudiants, des hommes politiques et des diplomates des deux pays ont pris part à l’événement festif au lycée local Alphonse Daudet. En plus des discussions sur les relations entre la République tchèque et la France, les visiteurs peuvent également voir des expositions sur l’histoire de la partie tchèque.
« L’ambassadeur tchèque en France Michal Fleischmann a animé sur place un atelier diplomatique, l’éminent historien français et expert de l’histoire de l’Europe centrale Antoine Marès a donné une conférence sur les relations entre les parties et les relations bilatérales, le directeur du Centre tchèque à Paris et l’historien Jiří Hnilica ont ensuite donné une conférence sur la réciprocité des relations entre les deux pays, a déclaré à Novinka Kristýna Křížová, présidente de la section tchèque de l’Association des anciens étudiants.
Centenaire de la section tchèque en France au Lycée Alphonse Daudet de Nîmes avec participation @stephanecrouzat. Ce programme unique a été construit sur les qualités des étudiants tchèques et suscite toujours un grand intérêt. https://t.co/yJao1vjQ6Z
— La France à Praha 🇫🇷🇪 avec lui (@France_CZ) 26 avril 2024
L’événement comprenait également l’ouverture de l’exposition bilingue Czech Dream en France sur le programme d’études centenaire. Les étudiantes tchèques, avec la permission du compositeur Zdenek Svěrak, ont interprété dans un coupé-salon une pièce du répertoire du Théâtre Žižkov, Jára Cimrman Vražd.
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« Tout au long de la semaine, des menus tchèques sont servis à la cantine du gymnase, des chants tchèques remplacent le son traditionnel de la cloche de la récréation », a ajouté Křížová.
Ce programme a été créé pour soutenir la jeune génération de Tchécoslovaquie
Ce programme, né pour soutenir la jeune génération tchécoslovaque, permet aux étudiants tchèques d’étudier en France pendant trois ans et de terminer leur séjour avec un diplôme d’études secondaires français.
Lorsqu’ils enseignent, ils font partie d’une classe avec leurs camarades francophones, les mêmes règles s’appliquent à eux, la seule différence est qu’ils ont à leur disposition un professeur tchèque. Les étudiants passent ensuite le week-end dans une famille d’accueil.
Le ministère tchèque de l’Éducation, l’ambassade de France à Prague et un ancien fonds de bourses d’études contribuent à financer la famille de l’étudiant. Au total, il y a toujours 30 lycéens tchèques qui étudient en France, à Nîmes, ville jumelle de Prague, il y a 12 filles, et au lycée Carnot de Dijon il y a des garçons et des filles.
La première rupture dans la division tchèque de la France s’est produite après l’occupation de la Tchécoslovaquie par l’Allemagne, la seconde rupture a été forcée par le régime communiste.
Parmi les plus de 800 diplômés, on comptait par exemple le psychologue scolaire signataire de la Charte 77 František Jiránek, le médecin et légionnaire tchécoslovaque Ivan Španiel, l’experte en islam Zora Hesová ou la directrice adjointe du Centre tchèque de Paris Tereza Nováková.
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