La presse russe a fait référence à un article du journal français Le Figaro. Il a écrit cette semaine que Paris réfléchissait à ce qu’il adviendrait des navires construits selon les paramètres demandés par la Russie.
Les deux navires, l’un nommé Vladivostok et l’autre Sébastopol, allaient être coulés en mer s’ils n’étaient pas envoyés en Russie.
Il rendra l’argent
Le président François Hollande a récemment déclaré qu’aucune décision définitive n’avait encore été prise. Selon lui, Paris peut choisir d’accorder une compensation ou de continuer à envoyer le navire, même s’il n’y compte pas pour l’instant. Si elle n’envoie pas le navire, la France devra restituer l’argent à la Russie. Selon les estimations, le montant atteindra plus de 27 milliards de couronnes.
L’accord de vente de Mistral à la Russie est le plus important de l’histoire du commerce d’armes entre l’Est et l’Ouest. Cependant, Hollande l’a bloqué l’année dernière en raison des actions de Moscou dans la crise ukrainienne.
La presse russe a rappelé que la France n’excluait pas de vendre des navires à d’autres pays. Le Canada, l’Égypte et un pays nordique anonyme sont tous envisagés. On dit qu’ils ne pouvaient pas être inclus dans la marine militaire française, car ils étaient produits en fonction des besoins spécifiques de la Russie. Le reconstruire aux normes françaises coûterait très cher.
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