La police a interpellé 150 personnes, a annoncé jeudi matin le ministre de l’Intérieur Grad Darmanin. Des manifestants ont tenté de libérer des prisonniers d’une prison de Fresnes, au sud de Pae, selon Le Monde. Le président Emmanuel Macron a convoqué le conseil de crise interministériel à 8 heures du matin, a rapporté l’AFP. Les troupes françaises dans le centre appellent au calme et envoient des renforts de police sur les points à risque.
À Viry-Chtillon, une autre banlieue de la capitale française, un groupe de personnes a démarré le bus mais a d’abord laissé descendre les passagers. Au Clamart le plus proche, quelqu’un montait dans le tram. A Nanterre, plusieurs voitures renversées ont pris feu et des briques et des briques ont volé sur les forces de l’ordre. La police a répondu en utilisant des gaz lacrymogènes et des balles en caoutchouc. Même à Nanterre, la construction en hêtre est en train de tomber en cendres dans une ville où l’on construit de nouveaux vélos.
Plusieurs groupes d’intrus rôdent en Seine-Saint-Denis, barrant le passage aux policiers avec des poubelles pleines. Il a volé des voitures et des magasins, pillant des magasins. Le groupe a attaqué le poste de police et endommagé la mairie. La police s’est battue avec eux pendant des heures.
Une nuit de violences intolérables contre les symboles républicains : mairie, vélos, commissions, 150 personnes interpellées ou vandalisées. Je soutiens les policiers, gendarmes et pompiers qui le font avec courage. Honte à ceux qui n’appellent pas à la paix, a écrit Darmanin sur Twitter.
Un jeune homme a perdu la vie dans une taupinière après que la police l’ait arrêté dans sa voiture. Lorsqu’il a refusé de se conformer à ses appels et est reparti, l’un des flics l’a poursuivi dans un accès de rage. Le jeune homme, originaire d’Afrique du Nord, a succombé à ses blessures et le policier a été placé en garde à vue suite à l’attaque. Le président français Emmanuel Macron a qualifié d’inexcusable la situation dans laquelle un policier a tiré sur un adolescent.
Les défenseurs des droits de l’homme affirment qu’il y a du racisme dans la police française, ce que le président Macron a jusqu’à présent nié.
Reuters, présentant ses excuses à la police, a déclaré que cette année, il y avait eu une fusillade mortelle lors d’un contrôle de la circulation par la police, l’année dernière, il y avait eu un record. La plupart de ces victimes après 2017 étaient noires ou d’origine arabe.
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