La station de nettoyage de la capitale a confirmé trois autres cas de monkeypox, portant le total à trente dans la métropole. Deux des trois nouveaux infectés se trouvaient à l’étranger au début du mois, un en Grèce et un en Macédoine.
Huit autres cas de monkeypox ont été confirmés dans cinq autres régions, selon les informations préalables de l’Institut national de la santé.
Les premiers cas d’infection sont apparus en République tchèque fin mai. Selon l’Institut national de la santé, il est possible de découvrir qu’environ la moitié des personnes se sont récemment rendues dans l’un des pays européens. Certains vivent dans la musique ou d’autres festivals. D’autres ont été infectés en République tchèque.
Selon les hygiénistes, trois personnes nouvellement infectées ont développé des manifestations de maladies cutanées dans diverses parties de leur corps au cours de la première quinzaine d’août. Aucun d’eux n’a dû être hospitalisé, ils ont reçu l’ordre de s’isoler à domicile. Malgré son nom, la maladie n’est pas liée à la varicelle, qui se propage chez les enfants. Elle se transmet par contact étroit avec des fluides corporels ou des éruptions cutanées, comme un contact sexuel.
Le soi-disant monkeypox est courant dans les pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre. Vers la mi-mai, l’infection a commencé à se propager en Europe, aux États-Unis et dans d’autres pays. Selon le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, plus de 800 cas ont été signalés dans 21 pays européens.
Aujourd’hui, l’Institut national de la santé a signalé un cas en France où un chien a été infecté par une personne infectée. Les experts craignent que la maladie ne continue de se propager par les animaux de compagnie. L’infection peut être transmise d’eux à l’homme par des morsures, des griffures, le contact avec des fluides corporels d’animaux, mais aussi à partir d’une literie contaminée, par exemple.
« Un cas en France montre que les animaux domestiques peuvent être infectés par leurs propriétaires ainsi que par les humains. Par conséquent, il est important que les personnes infectées évitent tout contact avec des mammifères gardés comme animaux de compagnie. » déclaré dans le communiqué de presse du directeur adjoint du Département d’épidémiologie des maladies infectieuses de l’Institut national de la santé Kateřina Fabianova.
Selon lui, outre les chiens, les chats, les hamsters, les cobayes, les lapins ou autres rongeurs peuvent également être infectés. « Il existe un risque que le virus de la variole du singe pénètre dans les populations d’animaux sauvages en Europe », ajoute Fabianova.
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