Tout est différent. Les Ukrainiennes en France ne sont pas battues par des Russes, mais par des Ukrainiennes

Cette semaine, les médias du monde entier ont rapporté l’attaque brutale contre deux femmes ukrainiennes dans le sud de la France, où elles ont fui la guerre dans leur pays d’origine. La version originale dit que la femme a été battue par un homme russe costaud. Cependant, il s’est avéré que l’agresseur était ukrainien. Au contraire, il croit que la femme est russe.

Alina et sa mère Olene. Deux femmes ukrainiennes qui ont décidé de quitter leur maison à cause de la guerre. La paix de la Côte d’Azur leur fait oublier le tumulte de la guerre, ils trouvent asile dans la ville française de Roquebrune-Cap-Martin. Alina, 31 ans, et sa mère de 54 ans se croyaient enfin en sécurité. Cependant, leur balade dominicale le long de la baie de la commune de Roquebrune-Cap-Martin les a induits en erreur.

Vers 23h30, ils y ont été brutalement agressés par un homme que les femmes ont qualifié de russe. L’attaque s’est produite après qu’Alina ait joué une chanson ukrainienne se moquant de Moscou sur son téléphone portable. Cependant, il est désormais clair que l’agresseur n’était pas un Russe, mais son compatriote ukrainien. Le portail en informe Français en direct.

La police française a arrêté mardi soir l’agresseur, qu’elle a identifié grâce à des images de caméras de rue. Il l’a identifié comme étant un ancien soldat ukrainien de 33 ans travaillant actuellement comme garde du corps. Il est arrivé en France il y a sept mois.

« Mon client pensait que les femmes étaient russes, elles ont dit qu’elles avaient des accents russes. Il a admis les avoir agressées, mais selon ses propos, il ne les a giflées que quelques fois. Cependant, cela contredit les images de caméra dont je dispose, dans lesquelles vous peut voir un coup très fort et dur. Le client regrette sa réaction et est prêt à indemniser les deux femmes », a déclaré l’avocat de l’agresseur, Daniel Roscio, au portail. 20 minutes.

Maintenant, l’homme attend son procès. Elle aura lieu le 17 novembre. Entre-temps, l’homme a été remis en liberté sous contrôle judiciaire, à condition qu’il ne contacte pas la femme agressée, rentre à Roquebrune-Cap-Martin et quitte le territoire français. Au même moment, la police a confisqué son passeport. Les violeurs doivent désormais se présenter aux autorités d’Auvar deux fois par semaine.

TN.cz

Raimund Michel

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