Comme cause du décès, les pathologistes ont identifié une asphyxie causée par un étranglement et une éventuelle gorge tranchée, ce que la police n’a pas précisé en raison de l’enquête.
Les images des caméras de rue, ainsi que les déclarations des témoins, indiquent que la principale suspecte, Dahbia B., une Algérienne de 24 ans, souffre de troubles mentaux. Par exemple, un riverain a raconté à BFM TV qu’il agissait comme un fou : « Il se promenait avec la valise, la déposait même devant le café, traversait la rue jusqu’à la boulangerie pour acheter du pain et revenait comme si c’était il n’y avait rien… s’est produit. »
Le visa étudiant de l’Algérien a été révoqué et les autorités lui ont demandé en août de quitter la France dans les 30 jours. Mais c’est tout : les responsables de l’État non seulement n’ont pas veillé à ce que cela se produise, mais n’ont même pas essayé de le faire. Si le contraire s’était produit, Lola serait encore en vie.
Après ce meurtre brutal, la panique s’est installée et les parents ont refusé de laisser leurs enfants sortir seuls. Beaucoup d’entre eux ont immédiatement rappelé des enlèvements d’enfants inexpliqués ou des cas de viols mortels et d’agressions commises par des immigrés. Les inquiétudes de la France ne peuvent être sous-estimées, alors que la délinquance des immigrés qui refusent de s’adapter à la société dominante ne cesse d’augmenter.
Selon les statistiques, la proportion d’étrangers dans le nombre total d’arrestations pour activités criminelles dans les grandes villes françaises est proche de cinquante pour cent (à Marseille, elle atteint même 55 pour cent), et l’action du gouvernement semble impuissante. En particulier, les groupes d’extrême droite et de gauche accusent le gouvernement de son incapacité ou de son manque d’intérêt à résoudre le problème. « Il y a trop de crimes commis par des immigrés illégaux dont on ne veut pas ou qu’on ne peut pas ramener chez soi », a accusé le gouvernement Marine Le Pen, présidente de l’Association nationale d’opposition.
Une femme souffrant de troubles mentaux est accusée du meurtre d’une fillette de douze ans à Paris
Le gouvernement est prisonnier d’une politique d’apaisement envers plusieurs anciens pays colonisés. Lors d’une visite en Algérie à la fin des mois d’août et de septembre, au cours de laquelle la France a promis d’augmenter ses approvisionnements en gaz, le président Emmanuel Macron a dû répondre aux commentaires selon lesquels son pays n’accueillait pas suffisamment les citoyens algériens en matière de délivrance de visas. En effet, Paris, irrité par les réticences de l’Algérie à accepter ses citoyens expulsés de France, a décidé à l’automne 2021 de diviser par deux le nombre de visas accordés aux Algériens.
Le fait que Macron n’ait pas une position simple est démontré, entre autres, par le fait que l’Algérie, pays francophone, expulse les Français des écoles. En juin dernier, il a été décidé que l’anglais deviendrait la deuxième langue nationale. Le Monde s’étonne : « Le français est déclaré langue étrangère rejetée, alors qu’il est parlé par des millions de personnes ! » Et concernant le fait que le discours télévisé de Macron était accompagné de sous-titres en anglais et en arabe, il a noté : « C’était vraiment imprudent d’accueillir le président français ».
La Cour de Justice européenne participe également
Mais Paris doit également répondre à une situation tout aussi complexe au sein de l’UE. La Cour européenne des droits de l’homme a ordonné à un tribunal français de réexaminer les « procédures arbitraires » dans le traitement des demandes des veuves des « martyrs » de l’Etat islamique qui souhaitent rentrer de Syrie avec leurs enfants.
Pendant ce temps, 90 % des Français interrogés dans un sondage de 2019 s’opposaient au retour des personnes parties volontairement pour mener le jihad et inciter aux pires attaques terroristes.
Chancelier autrichien : la politique migratoire de l’UE s’est effondrée
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