« La femme est décédée des suites d’une perte de sang due à plusieurs morsures à la tête et aux quatre membres », a indiqué le procureur Frédéric Trinh.
La police, qui enquête sur cet acte comme étant un meurtre, utilisera des échantillons d’ADN pour tester un total de 93 chiens qui se trouvaient dans les bois au moment où la femme a été attaquée. Parmi eux se trouvent cinq animaux appartenant à Pilarskis qui sont morts.
La Française Elisa Pilarksi, embarazada depuis six mois, est décédée le 16 novembre par une meute de chiens alors qu’elle promenait son chien dans la forêt de Retz, à environ 80 kilomètres au nord de Paris.
Le corps d’Elisa Pilarski a été retrouvé par son compagnon. pic.twitter.com/OK5tQT9O0p
– Noticias24 (@noticias24) 20 novembre 2019
Il a réussi à contacter son partenaire pour obtenir de l’aide avant sa mort. Elle lui a dit au téléphone « qu’elle craignait d’être attaquée par une meute de chiens ». L’homme qui l’a ensuite recherchée a trouvé la femme immobile et sans signe de vie.
Faute de preuves, l’association est rejetée
L’association française des chasseurs a déclaré dans un communiqué qu’il n’y avait aucune preuve que des chiens de chasse soient impliqués dans la mort de la femme. Selon l’association, il existe plus de 30 000 chiens de chasse en France. « Ils sont entraînés pour chasser des animaux spécifiques et obéir aux humains à tout moment », indique le communiqué.
Elisa Pilarski a été retrouvée à l’orée de la forêt, non loin de chez elle. Selon la BBC, elle est enceinte de six mois.
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